"Braque disait : "Les preuves fatiguent la vérité". Pour bien suivre le travail de Fouad Bellamine, il faut renoncer à débusquer ces preuves qui froissent l'art et le réduisent à des équations inutiles. Depuis les premières esquisses, Bellamine n'a cessé de peindre le matin de la lumière.
Le dôme, l'arche, la porte de l'invisible, le corps qui se donne et la lumière qui efface les aspérités. Ce sont là les obsessions de Bellamine. Son travail puise sa légitimité dans cet éternel retour sur soi et la quête entêtée de la lumière, unique voie de Salut (...)
[Lire la suite de l'article publié par le quotidien marocain Libération]
[Communiqué de presse de l'exposition]