Au carrefour de l'orient et de l'Afrique, la culture comorienne, presque inconnue en France, a de quoi nous étonner. Ainsi, paraît-il, le Conte n'aurait pas existé si le vieux Gombé, patriarche du pays des contes n'avait pas donné à une vieille femme la petite marmite en terre qui contenait de belles histoires et si le Soleil, jaloux et aigri, ne l'avait pas cassée. Depuis, les Comoriens prennet garde de ne jamais raconter ces contes en présence du soleil et de toujours demander la bénédiction des djins et de leurs aïeux.